Toucher les fleurs du Marché St Quentin quand le vendeur a le dos tourné.
Artiste autiste, une note d'espoir".
Percujam, au théâtre des variétés.
Échec et mat.
La nouvelle passion soltournesque.
Pour la première et dernière fois, je vais prononcer cette phrase lourde de sens: merci la réforme des rythmes scolaires.
A la ferme.
Coucou Trotro.
Mes dernières lectures par ordre de préférence.
1. Une dernière danse, Victoria Hislop
Une danseuse de flamenco tombe sous le charme d'un guitariste gitan au moment où l’Espagne sombre dans la dictature franquiste. J'ai été totalement embarquée par cette histoire qui a en plus le mérite de nous en apprendre beaucoup d'un point de vue historique, sur une période que je ne connaissais pas bien finalement.
2. Un amour impossible, Christine Angot
Premier roman pour moi de cette auteure controversée. L'histoire vraie de la relation de Christine Angot avec sa mère, dans l'ombre d'un père incestueux et absent, avec pour toile de fond la société des classes moyennes des années 80. Ambiance parfois sombre, mais j'ai beaucoup aimé.
3.Une chance de trop, Harlan Coben
Un homme se réveille après 12 jours de coma. Il s'est fait tiré dessus, sa femme est morte, sa fille de 6 mois a disparu. Une rançon est demandée mais l'échange échoue.. Palpitant, comme d'habitude, des chapitres très courts (j'adore), du suspense à chaque page (ligne?).
4. Temps glaciaires, Fred Vargas
Une nouvelle enquête pour Adamsberg, entre suicides douteux, un voyage en Islande qui tourne mal, et ces gens bizarres qui participent à reconstitutions historiques en costumes, ici, des Robespierristes. Original, c'est le moins qu'on puisse dire.
Inconditionnelle de Vargas, tous les ingrédients étaient pourtant réunis pour me plaire. Mais non. Je me suis perdue avec trop de personnages, obligée de revenir en arrière souvent. Je me suis forcée pour aller au bout.
Les vitrines des grands magasins.
On a préféré celles du printemps, autour du thème poupées délicates, pantins bleus et blancs, bonhommes de neige tout en douceur, plutôt que celles des Galeries Lafayette, futuristes et peuplées de robots. Il faut y aller le matin pour éviter la foule.
"Un frère, c'est comme un meilleur copain. Mais pour toute la vie"
Tournesol
Échec et mat.
La nouvelle passion soltournesque.
Pour la première et dernière fois, je vais prononcer cette phrase lourde de sens: merci la réforme des rythmes scolaires.
A la ferme.
Coucou Trotro.
Mes dernières lectures par ordre de préférence.
1. Une dernière danse, Victoria Hislop
Une danseuse de flamenco tombe sous le charme d'un guitariste gitan au moment où l’Espagne sombre dans la dictature franquiste. J'ai été totalement embarquée par cette histoire qui a en plus le mérite de nous en apprendre beaucoup d'un point de vue historique, sur une période que je ne connaissais pas bien finalement.
2. Un amour impossible, Christine Angot
Premier roman pour moi de cette auteure controversée. L'histoire vraie de la relation de Christine Angot avec sa mère, dans l'ombre d'un père incestueux et absent, avec pour toile de fond la société des classes moyennes des années 80. Ambiance parfois sombre, mais j'ai beaucoup aimé.
3.Une chance de trop, Harlan Coben
Un homme se réveille après 12 jours de coma. Il s'est fait tiré dessus, sa femme est morte, sa fille de 6 mois a disparu. Une rançon est demandée mais l'échange échoue.. Palpitant, comme d'habitude, des chapitres très courts (j'adore), du suspense à chaque page (ligne?).
4. Temps glaciaires, Fred Vargas
Une nouvelle enquête pour Adamsberg, entre suicides douteux, un voyage en Islande qui tourne mal, et ces gens bizarres qui participent à reconstitutions historiques en costumes, ici, des Robespierristes. Original, c'est le moins qu'on puisse dire.
Inconditionnelle de Vargas, tous les ingrédients étaient pourtant réunis pour me plaire. Mais non. Je me suis perdue avec trop de personnages, obligée de revenir en arrière souvent. Je me suis forcée pour aller au bout.
Les vitrines des grands magasins.
On a préféré celles du printemps, autour du thème poupées délicates, pantins bleus et blancs, bonhommes de neige tout en douceur, plutôt que celles des Galeries Lafayette, futuristes et peuplées de robots. Il faut y aller le matin pour éviter la foule.
Tournesol
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